ALARME SANS FIL à Saint-Brice-sous-Forêt
Saint-Brice-sous-Forêt permet l’installation d’un système d’ALARME SANS FIL. Située dans le département du Val-d’Oise en région Île-de-France. La ville compte environ 15 000 habitants (selon l’INSEE au 1er janvier 2017), appelés Saint-Bricien(ne)s. À 17 kilomètres au nord de Paris, la commune de Saint-Brice-sous-Forêt est située à l’ouest de la plaine de France, à l’orée de la forêt de Montmorency. Saint-Brice est desservie : par l’ex-RN1 (actuelle RD 301) qui traverse la ville du nord (en direction de Beauvais) au sud (en direction de Paris) et la RD125 qui relie Montmorency à Sarcelles d’Ouest en Est au Sud de la ville. Elle est également à proximité de la RD11. les transports en commun suivants :
La gare de Sarcelles – Saint-Brice située sur la ligne d’Épinay – Villetaneuse au Tréport – Mers et desservie par les trains de la ligne H du Transilien (Paris-Nord – Persan – Beaumont/Luzarches).
Les bus RATP 133 370
La ligne départementale 95-02 du Conseil Général du Val-d’Oise (arrêts : Gare ; Rû de la marlière ; Avenue du Général-de-Gaulle)
Les bus urbains 30-13 et 30-39
La ligne N43 NOCTILIEN.png du Noctilien en provenance de la Gare de Paris-Est à Paris et qui a pour terminus la gare de Sarcelles – Saint Brice.
La ville de Saint-Brice-sous-Forêt peut être divisée en différents quartiers :
Le centre-ville, qui constitue le cœur historique de la ville, Le quartier des Vergers, né dans les années 1975 pour répondre au manque de logements (les premiers logements furent habités en 1974), Les Rougemonts, Le clos du château, La résidence de la Fontaine Saint-Martin, La résidence du Village, Le K-ré, Le quartier de la Plante au Flamands.
Attestée sous la forme Sanctus Bricius en 1124.
Le nom de la commune provient du saint éponyme, successeur de saint Martin à l’épiscopat de Tours en 397, ou de Bricta, déesse gauloise des sources. Sous la Révolution, la commune prend le nom de Brice libre. C’est dans un document de 1125, où Mathieu le Bel, futur seigneur de Villiers, énumère ses possessions, que le nom de Saint-Brice apparaît pour la première fois. Le village faisait partie de la seigneurie des Montmorency au xiiie siècle. Ils y ont droit de haute, moyenne et basse justice et aussi un droit de prélèvement sur les poissons de mer transitant par le bourg vers Paris, droit confirmé le 11 mai 1390 par le parlement de Paris. Mais en 1632, Henri II de Montmorency, coupable d’avoir conspiré contre le roi Louis XIII, est décapité en place publique à Toulouse. Ses biens sont dévolus à sa sœur, Charlotte — la femme de Henri II de Bourbon-Condé —, puis du comte de Vienne, brigadier des armées du roi au xviiie siècle. La communauté villageoise compte à cette époque environ 171 foyers c’est-à-dire 800 habitants, vivant pour la plupart de l’agriculture et, en complément, de la fabrication de dentelle alors florissante dans la région. La vigne représentait la principale activité agricole. Saint-Brice présentait déjà son double aspect résidentiel et rural. Les belles propriétés jouxtaient des vignobles. Le travail à domicile de la dentelle constituait une importante source de revenus pour la commune. La Révolution française amena son lot d’enthousiasme et également d’excès. Malgré les protestations des villageois, Jean-Louis Loiseau de Béranger, le généreux propriétaire du château de Saint-Brice fut guillotiné en tant que fermier général.
Antérieurement à la loi du 10 juillet 19647, la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département du Val-d’Oise et à son arrondissement de Sarcelles, après un transfert administratif effectif au 1er janvier 1968. Pour l’élection des députés, la ville fait partie de la septième circonscription du Val-d’Oise. Saint-Brice faisait partie de 1801 à 1964 du canton d’Écouen, année où il est rattaché au canton de Sarcelles-Centre de Seine-et-Oise. Lors de la mise en place du Val-d’Oise intègre en 1967 le canton de Domont, puis, en 1976, le canton de Sarcelles-Saint-Brice, et enfin en 1985 au canton d’Écouen. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune fait désormais partie le canton de Deuil-la-Barre. Saint-Brice-sous-Forêt fait partie de la juridiction d’instance de Gonesse (depuis la suppression du tribunal d’instance d’Écouen en février 20088), et de grande instance ainsi que de commerce de Pontoise.
Saint-Brice-sous-Forêt dispose de trois zones d’activités commerciales et d’artères commerçantes dans la rue de Paris, rue de Montmorency, place de la Gare.
La ZAC des Perruches située au nord de la ville. C’est la zone économique la plus ancienne de Saint-Brice.
La ZAC des Vergers, situé à l’est de la ville. Cette ZAC est voisine du parc Georges-Brassens qui est le plus grand parc de la ville.
La ZAC de la chapelle Saint-Nicolas, à l’Est de la ville.
Il existe également un marché couvert, près de l’église sur la place Gallieni.
Propriété Jacquin, à l’angle avenue du Général de Gaulle / boulevard de la Gare : Elle fut longtemps habitée par M. Montmirel, maire de Saint-Brice de 1929 à 1935. Une partie du parc est occupée maintenant par les immeubles du clos Béranger.
Villa Sainte-Beuve, 8 rue de Paris : la propriété appartenait à la famille Sainte-Beuve. Elle fut la résidence de l’actrice Armande Cassive, puis de la famille Driancourt, distillateur à Saint-Denis.
Hôtel Mauléon, 15 rue de Paris : il appartenait à la famille Gary depuis 1648. À la mort du notable Pierre Gary, le domaine revient à sa sœur Catherine qui devint Dame de Mauléon.
Propriété Daval : elle est située à côté de la mairie. Cette demeure a été transformée en appartements.
Balustrade de la rue Edith-Wharton : Elle constitue probablement un vestige de la terrasse du château de la famille Braque, construit en 1670. La résidence des seigneurs de Saint-Brice était doté d’un vaste parc.
Fontaine Saint-Martin, rue Edith-Wharton : cette fontaine de 1686 environ, modifiée par la suite au cours du xixe siècle, amenait vers la ville l’eau potable depuis la source Saint-Martin, en lisière de la forêt de Montmorency. La construction de la fontaine intervient en même temps avec la canalisation du cours d’eau à ciel ouvert, ayant traversé le domaine du château. La fontaine a servi à de nombreux habitants jusqu’au milieu du xxe siècle. Elle est aujourd’hui hors service.
Chalet suisse, 20-22 rue de Montmorency : cette maison de 1909, dessiné par l’architecte A. Abbet, suit le modèle du pavillon de la Suisse de l’Exposition universelle de 1900.
Vierge à l’Enfant, 19 rue de Montmorency : cette petite statue en plâtre dans une niche à l’angle d’une maison était, jusqu’en 1939, le but de la procession de l’Assomption.
Presbytère, 59 rue de Paris : Il est installé depuis les années 1920 dans cette ancienne propriété bourgeoise du xixe siècle, entourée par un mur de clôture avec une porte cochère.
L’origine de Saint-Brice est très ancienne. De nombreux vestiges le confirment. Le nom est attesté dès 1125. En 1138, la paroisse englobait aussi Piscop. Notre élégant clocher actuel date du XIIIe siècle. Saint-Brice appartenait à cette époque à la châtellenie des Montmorency. Le village était constitué d’une soixantaine de fiefs répartis entre plusieurs propriétaires. La famille Braque, propriétaire des fiefs : la Motte et Hugot, obtint le titre de seigneur de Saint-Brice. La paroisse souffrit des divers conflits des XIVe et XVe siècles : jacqueries, Guerre de Cent Ans, guerre dite « du Bien Public ». Incendies, exode des habitants. Le calme revint pour quelques décennies. L’église dut être reconstruite en 1525 ; seul le clocher était resté en très bon état. Les Guerres de Religion du XVIe, où les Montmorency étaient pourtant très impliqués, ont en revanche épargné le village. En 1778, il fallut une fois encore reconstruire l’église, les diverses réparations ne suffisant plus. C’est alors que l’orientation actuelle ouest-est fut donnée. On ignore la cause d’une telle décision. La Révolution de 1789 amena son lot d’enthousiasmes et d’excès : pétitions, doléances, dénonciations, arrestations, condamnations. Loiseau de Béranger, le généreux propriétaire du château de Saint-Brice, très apprécié des villageois, fut guillotiné en tant que Fermier Général. Saint-Brice fut avec Marly le village le plus perturbé du Pays de France. Il est vrai que sévissaient deux fanatiques très complices : l’instituteur – greffier – secrétaire de la commune et un prêtre assermenté surnommé le « Marat de Saint-Brice ». La mention “sous-Forêt” est apparue pour la première fois en 1850. En effet, en page 241 de l’ouvrage St-Brice au travers de son conseil municipal, Tome II 1795-1852, Le Directoire, le Consulat, l’Empire, la Restauration, Louis Philippe, la IIe République, de Madeleine Héry, il est écrit : C’est la première fois que nous rencontrons Saint-Brice enrichi de l’appellation “sous-Forêt”. C’était dans le cadre de la soumission d’un plan et d’un état descriptif d’une propriété par le maire de l’époque dont le Conseil municipal avait décidé la vente. Cet état était accompagné d’un cahier des charges. Il est daté du 21 septembre 1850.
Alarme protection en Île-de-France
Alarme dans le Val-d’Oise
INSTALLATION D’ALARME dans l’arrondissement de Sarcelles
Installation de système de sécurité dans le canton de Deuil-la-Barre
INSTALLATION D’ALARME SANS FIL à Plaine Vallée
Maire
Mandat de Alain Lorand
2014-2020
Code postal 95350
Code commune 95539
Démographie
INSTALLATION D’ALARME dans le Saint-Bricien, Saint-Bricienne
Population
municipale 14 883 hab. (2017 en augmentation de 3,84 % par rapport à 2012)
Densité 2 481 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 00′ 00″ nord, 2° 22′ 00″ est
Altitude Min. 60 m
Max. 175 m
Superficie 6 km2
Les bons systèmes d’Alarme ont des signaux optiques et acoustiques (par exemple, une sirène extérieure avec lumière clignotante). Ils contiennent également une “Alarme silencieuse” qui informe la police ou une agence de sécurité. De bons systèmes sonnent l’Alarme en cas d’effraction ou de vol. De plus, vous Alarmez en cas de tentative de sabotage du système et fournissez des informations sur les défauts techniques. Pour cela, les systèmes d’Alarme intrusion nécessitent un certain nombre de détecteurs. Un bon système d’Alarme doit comprendre au moins les détecteurs et appareils suivants:
– Détecteur de mouvement
– Détecteur de bris de verre
– Détecteur de fumée
– Dispositif d’armement
Possibilité de coupler le système avec d’autres systèmes
L’étendue de la protection d’un système d’Alarme pour la maison peut être augmentée en intégrant des détecteurs supplémentaires. Par exemple, les plaques de sonnerie peuvent être équipées de détecteurs de contact appropriés qui déclenchent l’Alarme dès qu’ils sont touchés. Les détecteurs de vibrations ou de bruit de structure ainsi que les barrières lumineuses et infrarouges peuvent également être utilisés pour les objets particulièrement menacés dans lesquels des valeurs de propriété élevées doivent être protégées. Veuillez nous parler de vos idées. Nous serions heureux de vous conseiller sur toutes les options. Lors d’une visite sur site, nous identifions les points faibles et vous proposons des solutions adaptées, efficaces et économiques. Sécuriser la maison: surveillance extérieure de la peau ou surveillance des pièges intérieurs ou les deux ?
Si vous souhaitez sécuriser votre maison, il existe deux concepts différents. Les deux concepts ne s’excluent pas mutuellement et peuvent donc être combinés l’un avec l’autre. Le premier concept est la “protection de la peau”. Ce faisant, des ouvertures, des bris de verre et d’autres détecteurs sont fixés aux points vulnérables de la «peau extérieure» du bâtiment – comme les fenêtres, les portes ou les écoutilles. Dès que quelqu’un essaie de pénétrer cette peau extérieure, une Alarme se déclenche.
Dans le cas d’une surveillance de maison à l’intérieure, des détecteurs sont installés dans les pièces elles-mêmes, qui enregistrent les mouvements ou les vibrations, par exemple les détecteurs de mouvement. En plus de l’Alarme, ces systèmes peuvent également être équipés d’un nébuliseur. Pour augmenter encore la sécurité de la maison, des détecteurs de fumée peuvent être installés. L’avantage de la surveillance des pièges est qu’elle nécessite souvent moins de détecteurs. La meilleure protection est fournie par les systèmes d’Alarme, qui assurent la surveillance externe de la peau et interne de la maison. Nous travaillons uniquement avec les meilleurs produits et partenaires certifiés. Afin de garantir une protection optimale pour votre maison, appartement ou bureau, nous travaillons exclusivement avec des fabricants renommés tels que les produits de la société AJAX. Votre système d’Alarme est donc de la meilleure qualité et ne vous causera aucun problème dans les prochaines années.