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Alarme sans fil à Écouen

ALARME SANS FIL à Écouen

Écouen permet l’installation d’un système d’ALARME SANS FIL. Située dans le département du Val-d’Oise en région Île-de-France. Elle compte environ 7 400 habitants, située à environ 19 km au nord de Paris et à 15 km de l’aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle. La ville est connue pour son château qui abrite le musée national de la Renaissance. Ses habitants sont appelés les Écouennais. La ville est implantée à l’est du département du Val-d’Oise, au Nord de l’agglomération parisienne. Écouen se situe sur le flanc septentrional d’une butte-témoin couronnée par la forêt d’Écouen et dominant la plaine de France, à dix-neuf kilomètres au nord de Paris, et à une dizaine de kilomètres de l’aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle. Les terrasses du château, au sommet de la butte, constituent un des meilleurs points de vue sur la plaine de France. Limitrophe de Sarcelles et Villiers-le-Bel, la ville d’Écouen (qui est restée un « gros village ») témoigne de ce à quoi ressemblaient ces deux communes avant la construction des grands ensembles. Écouen est desservie par la gare d’Écouen – Ézanville, sur le réseau Transilien Paris-Nord, branches Paris-Nord — Persan-Beaumont/Luzarches. La gare est desservie à raison d’un train omnibus au quart d’heure en heures creuses et à la même fréquence en heures de pointe. La desserte se réduit à un train omnibus à la demi-heure en soirée (après 20 h 30). Il faut de 16 à 22 minutes de trajet à partir de la gare du Nord. Elle est également desservie par la ligne de bus RATP 269, reliant la gare de Garges – Sarcelles à l’hôtel de ville d’Attainville. Iticiascoa en 637, Esconium, Escouaeum, Escuem. Le nom de la commune provient de l’anthroponyme gaulois Scotus et du mot gaulois magos, marché. La colline d’Écouen est une butte témoin dominant la plaine de France. Placée entre le synclinal de Saint-Denis et l’anticlinal du pays de Bray, elle prolonge au sud-est la vallée de Montmorency dont elle est séparée par la vallée du Petit Rosne. En 632 : « Le bon roi Dagobert a fait présent de la terre et seigneurie d’Écouen à la basilique de Saint-Denis. Ce village offert se nomme alors : Iticiniscoam. Il réunissait les communes actuelles d’Écouen et Ézanville. Iticin se traduit en latin par « ville », ce qui a donné Ézanville. Iticiniscoam s’est contracté en Iscoam ce qui a donné, au fil du temps, Écouen. ». L’acte de don du roi à l’abbaye est conservé à Saint-Denis. Après cette archives, on ne trouve plus de trace écrite d’Écouen pendant une longue période. Il semble que par la suite une partie du territoire d’Écouen ait appartenu aux templiers puisqu’on retrouve les traces d’un échange en 1269 entre l’ordre et la Maison de Montmorency : alors que Mathieu III de Montmorency cède aux templiers 62 arpents de terre aux alentours de Bondy et ceux-ci cèdent en contrepartie 20 arpents situés à Écouen.

Les barons de Montmorency possèdent la quasi-totalité de la Plaine de France au xvie siècle, dont Écouen fait partie. C’est alors l’une des plus puissantes familles seigneuriales du Royaume, dont les différents membres sont très proches des rois de France successifs. Anne de Montmorency (qui est un homme, filleul d’Anne de Bretagne qui lui donne son nom), connétable de France, métamorphosa au début du xvie siècle le castel en résidence monumentale marquée par l’architecture et l’art de la Renaissance. À partir de ce moment, l’histoire du village est intimement liée à la destinée des Montmorency et de leur immense château bâti au sommet de la butte. Pour l’édifier, Anne de Montmorency, devenu l’homme le plus puissant du Royaume après le roi lui-même, fait appel aux plus grands artistes (peintres, architectes, sculpteurs…). Le château d’Écouen devient un des joyaux de l’architecture de la Renaissance. Il fut visité en 1527 par François Ier, puis en 1547, par Henri II, qui, en 1559, y ordonna le cruel édit d’Écouen condamnant à mort les luthériens. Écouen devient même le lieu de villégiature préféré d’Henri II. À la mort de ce dernier, le Royaume sombre dans les guerres de religions, au cours desquelles Anne de Montmorency est tué. Ses possessions reviennent à ses descendants, mais la famille s’éteint un peu plus tard.  L’église Saint-Acceul date également du xvie siècle, elle est élevée, ainsi que plusieurs autres bâtiments (les écuries du château, la grange dîmière…) juste en contrebas du château, ce qui est aujourd’hui le centre-ville d’Écouen. Ses vitraux ont été préservés de toutes les guerres, et sont pour cette raison très connus. C’est la seule église de France à porter ce nom.

Château d’Écouen – musée national de la Renaissance, rue Emmanuel-Duverger (classé monument historique par liste de 1862) :

Ce château fut édifié sur ordre d’Anne de Montmorency de 1538 à 1555 sur les plans de l’architecte Jean Bullant. Il constitue l’un des symboles de l’architecture Renaissance. Anne de Montmorency aurait décidé de sa construction au retour des guerres d’Italie aux côtés de François Ier, et se serait inspiré des palais italiens. Après l’exécution pour conspiration de son petit-fils le connétable Henri II de Montmorency en 1632, le château fut confisqué et remis à sa sœur, Charlotte d’Angoulême.

Il passa ensuite à la Maison de Condé qui le conserva jusqu’à la Révolution. L’abbé Grégoire intervint pour que l’édifice ne soit pas dépecé et, en 1805, Napoléon y créa la première maison d’éducation pour les filles de membres de la Légion d’honneur.

Le château est restitué aux Condé sous la Restauration, puis remis à l’ordre de la Légion d’honneur sous la Monarchie de Juillet.

En 1850,, le « prince président » y réinstalla la maison d’éducation fondée en 1805, qui y resta jusqu’en 1962. André Malraux décida en 1969 d’y installer le musée national de la Renaissance, qui fut inauguré en 1977. Aujourd’hui il appartient donc à l’État, mais une partie du domaine (la forêt d’Écouen qui entoure le château) est encore la propriété de la Légion d’honneur. Le château d’Écouen présente la particularité de n’avoir subi pratiquement aucune modification architecturale d’ensemble au fil des siècles, en sorte qu’il constitue un témoignage exemplaire du style Renaissanceb 1.

Église Saint-Acceul, place de l’Église (classée monument historique par liste de 1840) :

Il s’agit de la seule église de France à porter ce nom. Elle est l’un des premiers monuments classés en France. L’édifice, de fondation très ancienne, a été rebâti à partir de 1536. Le chœur et le bas-côté, achevés en 1545, portent partout la marque du connétable Anne de Montmorency, qui finança les travaux et les dix verrières. Le chantier fut sans doute réalisé sur les plans de l’architecte Jean Bullant, qui exprima d’ailleurs dans son testament le souhait d’être inhumé dans cette église, « au pied du crucifix ». Jean Bullant est également le principal architecte du château d’Écouen qui surplombe l’église. La nef a été édifiée en 1709 et la façade en 1852. On peut visiter l’église Saint-Acceul en s’adressant à l’office de tourisme, en face. Grange dîmière, dans la cour intérieure de l’hôtel de ville (inscrite monuments historique en 1985) : Ses murs remontent au xive siècle et sa charpente au xviie siècle. La grange appartenait au prieuré Saint-Martin-des-Champs, seigneur d’Écouen depuis 1060. Appelée localement « grange à dîmes », ce bâtiment imposant a été restaurée au début des années 2000 par la commune et transformée en salle municipale. Y sont régulièrement organisés des concerts, réceptions et représentations théâtrales. Le bâtiment bénéficie d’une acoustique remarquable. Maison de Jean Le Vacher, 2 place Jean-le-Vacher : Cette maison se fait remarquer par la haute fenêtre d’un atelier d’artiste dans la mansarde. Le 15 mars 1619, y est né Jean Le Vacher, prêtre lazariste et consul général de France à Tunis et à Alger, exécuté cruellement en 1665 par le Dey d’Algerb.

Manoir des Tourelles, en face de l’église : Il s’élève à l’emplacement de la roseraie du château, vendu par les princes de Condé puis loti. Sa façade de la fin du xviiie siècle est cantonnée de deux tours rondes des deux étages. Après une longue période d’abandon, le manoir abrite désormais l’office de tourisme d’Écouen. Sa restauration par la commune en 2008-2009 a été récompensée par un Ruban du Patrimoine. Le manoir se visite : Outre l’office de tourisme, une exposition permanente consacrée à Louis Théophile Hingre, sculpteur et affichiste d’Écouen, et une galerie d’exposition y sont installées. S’y ajoutent un « atelier vitrail » ainsi qu’un salon de thé avec sa terrasse. Dans le jardin du manoir, un chemin piéton permet de monter directement au château sans faire le long détour par le parcb.

Escalier au sud de la place de la Mairie : Cet escalier s’ouvrant derrière un court passage sous une maison particulière provient d’une époque non déterminéeb 4. Il aboutit devant la façade nord du château et permet d’accéder au parc du château par l’ouest, ce qui oblige à contourner l’édifice pour rejoindre l’entrée située à l’est.

Ancien tribunal d’instance, 22 rue de la Grande-Fontaine : Cet ancien hôtel particulier de la fin du xviiie siècle a été la propriété du peintre Jules-Paulin Lorillon (1836-1912). Après la suppression du tribunal en 2008, la municipalité a acquis la vieille demeure pour y installer sa maison des Solidarités. Le petit parc qui l’entoure est désormais un jardin public. Il abrite un petit mémorial pour l’appel du 18 Juin du général de Gaulle.

Lavoir, 22 rue de la Grande-Fontaine : Ce lavoir alimenté par une source aujourd’hui tarie se situe en dessous du niveau de la rue. De forme triangulaire, il est enserré entre la rue, une immeuble et l’actuel parc municipal.

Alarme protection en Île-de-France

Alarme dans le Val-d’Oise

INSTALLATION D’ALARME dans l’arrondissement de Sarcelles

Installation de système de sécurité dans le canton de Fosses

INSTALLATION D’ALARME SANS FIL à Roissy Pays de France

Maire

Mandat de Catherine Delprat

2018-2020

Code postal  95440

Code commune       95205

Démographie

INSTALLATION D’ALARME dans le Écouennais

Population

municipale   7 188 hab. (2017 en diminution de 0,9 % par rapport à 2012)

Densité 947 hab./km2

Géographie

Coordonnées 49° 01′ 00″ nord, 2° 23′ 00″ est

Altitude Min. 61 m

Max. 167 m

Superficie      7,59 km2

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